Conférence organisée par l’association ACTENERGIES pour FNE83 - Invitation
Vendredi 6 décembre à 17 heures
Salle Arnal 28 Rue Vincent SCOTTO à Toulon
Air & Santé
L’air que nous respirons contient des polluants qui encrassent nos poumons et affectent notre santé.
Présentation par FNE83 des polluants de l’air puis de leurs effets sur notre santé par notre invité, le Docteur Alain Collomb de l’Association Santé Environnement France (ASEF)
Mobilisez-vous pour améliorer la qualité de l’air, rejoignez l’une des associations : ACTENERGIES, APE Saint Mandrier, ASEF, Fédération FNE83, Fédération MART, Toulon Avenir, Toulon Var Déplacements, associations varoises adhérentes de ATMOSUD.
Cette action de FNE83 est conventionnée avec la DREAL PACA et la région SUD-PACA
En France, le brûlage des déchets verts à l’air libre, pourtant interdit, est encore très répandu : plus de 15% des personnes possédant un jardin enfreignent la loi (parfois sans le savoir), et 830 000 tonnes de déchets végétaux sont brûlés chaque année.
Cette pratique, qui émet des polluants atmosphériques toxiques, est néfaste pour notre santé et pour l’environnement, et elle limite le retour au sol de la matière organique ( Photographie prise le 1 novembre 2024 à 7:50). Voir également les photos de l'année passée.
En 2023, en partenariat avec l'ADEME, FNE a réalisé une vidéo pour inciter au changement dans la gestion des déchets végétaux avec les outils existants pour agir et transformer cette matière en ressource.
La pollution de l’air des navires s’explique notamment par les rejets dus aux teneurs élevées en soufre des carburants utilisés par les navires. Fioul lourd, diesel marin… (Photographie du Costa Fascinosa de la compagnie Costa Croisières à l’entrée de la petite rade prise le 1 novembre 2024 à 8:03)
En effet, les carburants des navires ont une teneur en soufre jusqu’à 3 500 fois plus élevée que le diesel des voitures. Une fois brûlé, ce carburant les navires rejettent du dioxyde de soufre, connu pour son impact sanitaire (maladies respiratoires, bronchites, irritations de la gorge) et environnemental (pluies acides) mais aussi du dioxyde d’azote.
Nous saluons le rôle de la France dans la création de la zone à faible émission de soufre en Méditerranée (zone SECA), mais il est nécessaire d’aller plus loin pour protéger la santé des riverains des villes portuaires en Méditerranée et ailleurs.
Pour en savoir plus
Les courants ont amené en fin de journée des centaines de cadavres de bars qui se sont échoués sur le littoral mandréen. De nombreux cadavres de bars, tous de la même taille, flottent à proximité du rivage ou sont d’ores et déjà échoués sur la grève.
Méduses et cadavres de bars observés à l’entrée du port de Saint-Elme (Photographies prises le 13 octobre 2024 vers 18h00).
Des cadavres de bars flottent à la surface des eaux au niveau de la plage de Sainte-Asile (Vidéo prise vers 18h30). Un cadavre de mérou était visible ce 10 octobre sur les banquettes de posidonie de la plage avec la même apparence, des tissus nécrosés immédiatement derrière la tête (Photographie prise le 10 octobre 2024 à 11h50).
Aujourd’hui, de nombreux cadavres de bars flottent à la surface de eaux de la plage de Sainte-Asile et sont échoués sur le sable vaseux à l’entrée du port de Saint-Elme ou de nombreuses méduses sont également échouées.
Certainement que méduses et cadavres des bars flottant en surface ont été portés à la côte par les mêmes courants. Des cadavres de bars ont également été observés du côté de l’entrée de la rade, au niveau de la plage des Oursinières au Pradet mais aussi de l’IMS.
Porté par les courants de surface, Var-Matin indique que ces bars proviendraient d’un site d’aquaculture situé au Frioul à Marseille qui aurait perdu plusieurs tonnes de poissons à la suite d’une maladie qui aurait décimé la production.
Leur élimination en mer pose question car si c’est une bactérie, virus, champignon pathogène ou un parasite qui les a tués, il pourrait être transmis à la population de bars sauvages, voir aux personnes en contact avec des restes de ces poissons. L’élimination de ces cadavres de poissons par le professionnel via une filière garantissant leur destruction sans la dispersion d’un éventuel germe pathogène auraient été évidemment une précaution préférable.
En attendant les résultats d’éventuelles analyses, nous déconseillons la baignade ou les jeux aquatiques et d’approcher les goélands dans ces zones.
Les chiffres clé du cancer du sein
En France, 650 000 femmes sont ou ont été touchées par le cancer du sein. On compte 54 000 nouveaux cas chaque année et environ 12 000 femmes décèdent de la maladie. D'après cancerdusein.org, on estime qu'une femme sur huit sera touchée par le cancer du sein.
Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez les femmes en France et constitue leur principale cause de mortalité. C’est donc parce que le cancer du sein touche encore beaucoup de femmes que votre participation à Octobre Rose est importante.
De quoi s’agit-il ?
Octobre Rose est une campagne annuelle de sensibilisation au cancer du sein, instaurée en 1985. Elle a vu le jour aux États-Unis et a fait sa première apparition en France en 1994, sous l'impulsion du magazine Marie Claire et du groupe Estée Lauder. De cette collaboration est née l'association Le Cancer du Sein, Parlons-en ! En 2020, l'association a été rebaptisée Ruban Rose.
Octobre Rose est un événement national. Du 1er octobre au 31 octobre de chaque année, des événements sont organisés afin de rassembler des associations et des professionnels de santé autour de l'information sur le dépistage du cancer du sein et de récolter des fonds pour la recherche.
N’hésitez pas, participer à Octobre rose !
Depuis sa création, le mouvement Octobre Rose s'appuie sur un réseau associatif national engagé. Autour d'organisations locales, régionales et nationales, des événements en tout genre sont créés. Par le biais du sport et notamment de la course à pied, ces femmes peuvent se faire entendre à l'unisson.
Tout le monde peut donc participer à Octobre Rose. Vous pouvez choisir de participer à une des actions proposées comme une marche ou une course à pied. Les fonds récoltés lors de ces événements sont reversés à la recherche contre le cancer du sein. Durant ce mois, vous pouvez aussi choisir d’organiser vous-même un événement physique ou virtuel pour récolter des fonds que vous reverserez à l’association à la fin de l’opération.
Les professionnels de la Maison de Santé de la Presqu’ile vous attendent donc ce samedi matin à partir de 9h00 au niveau d’un stand au marché au village pour vous informer et répondre à toutes vos questions. L’après-midi ils vous invitent à Marégau (près de la pharmacie ) à partir de 15h00 avec Studio S Zumba et un atelier d’auto-palpation des seins et à 17h00 pour un goûter « rose ».
Pour en savoir plus
« Octobre Rose » fête son 31e anniversaire en 2024. L'événement symbolisé par le ruban rose met l'accent sur le dépistage du cancer du sein et est organisé avec l'Institut national du cancer. La campagne d'information et de sensibilisation qui a lieu durant tout ce mois d'octobre a pour slogan : « Plus fortes ensemble ! ».
Les professionnels de la Maison de Santé de la Presqu’ile vous attendent ce samedi matin à partir de 9h00 au niveau d’un stand au marché au village pour vous informer et répondre à toutes vos questions. L’après-midi ils vous invitent à Marégau ( près de la pharmacie ) à partir de 15h00 avec Studio S Zumba et un atelier d’auto-palpation des seins et à 17h00 pour un goûter « rose ».
Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez les femmes en France et constitue leur principale cause de mortalité.
L'Institut national du cancer (INCa) estime que 80 % des cancers du sein surviennent après l'âge de 50 ans. C'est à partir de cet âge que l'INCa préconise d'effectuer un dépistage régulier, le plus efficace afin d'augmenter les chances de guérison en cas de maladie. Détectée à un stade précoce, la maladie nécessite, en général, des traitements moins lourds et moins agressifs.
Pour en savoir plus