24 mars 2024 : Rainbow Color Tour Maison de santé de Saint-Mandrier
A l'occasion de Mars Bleu, les associations pour la mobilisation pour la prévention du cancer colorectal, l'amicale des Donneurs de Sang, la mutualité Française, l’Assurance maladie,.... se sont associées à la Maison de Santé de la Presqu'île pour l'organisation de cette manifestation très festive et pleine d’énergie.
Les 3 km du parcours colorés avec un bon dénivelé de la place des résistant en passant par la renardière n’ont pas eu raison de l’enthousiasme des participants de tous les âges. Les bains de couleurs ont été à la hauteur grâce à un p’tit coup de Mistral !
Une maison de santé pleine de vie donc (téléphone : 07 62 17 32 89)
Vendredi 22 mars 2024 : Les droits de la Seine
Ce vendredi 22 mars la journée mondiale de l'eau est célébrée. C’est aussi le jour qu’a choisi le collectif des Gardiennes et Gardiens de la Seine, dont fait partie Wild Legal, pour publier la Déclaration des droits de la Seine et lancer un appel sur change.org pour soutenir cette Déclaration.
Le collectif a besoin de vous pour signer l’appel et aider à sa diffusion massive, et venir grossir le nombre de ses signataires. Merci d’avance pour celles et ceux qui pourront le faire. Toutes les informations sur le site des gardiens de la rade.
17 mars 2024 : Pirogues polynésiennes, ombres chinoises sur une mer d’argent
La ora na ! Ce dimanche, sous un soleil resplendissant, trois pirogues polynésiennes magnifiques voguaient gaillardement en direction des Sablettes. Ces Vaʻa, mot qui désigne en samoan, hawaïen et tahitien la pirogue à balancier, étaient certes plus modernes que les va'a en bois artisanal.
Un très beau sport de loisir et de compétition pour ressentir les plaisirs de la glisse dans un esprit d’équipe qui se traduit par le rythme harmonieux des pagaies, A hia hou !
Les Va’a du Club Méduse de Saint Elme en mouvement sur la surface d’argent martelée de la mer.
Pour en savoir plus, les clubs locaux
16 mars 2024 : Le Rascas est baptisé !
Sous un soleil printanier et un ciel bleu pur le dernier semi-rigide de la SNSM mis en service à été baptisé.
Cette fin d’après-midi, l’assistance était nombreuse place des Résistants et c’est M. Philippe Bouyrie, Président de la station, qui a mené la cérémonie d’une main de maître. Il a retracé brièvement la création et la vie de la station et remercié les nombreux contributeurs de la station. En effet, la SNSM s’appuie sur 9 000 bénévoles qui œuvrent à partir de 208 stations de sauvetage, d’une flotte de plus de 781 embarcations, de 32 centres de formation et d’intervention (CFI) sur tout le territoire français (métropole et outre-mer) et 235 postes de secours sur certaines plages lors de la saison estivale.
Il a rendu des hommages et des remerciements appuyés et bien mérités à M. Jean-Louis Kleparski, figure historique de la station et à Jean-Luc Exposito bénévole de la première heure qui a été choisi par les équipages comme le parrain du Rascas.
Parmi les allocutions, il faut retenir celle du Préfet maritime, le Vice-Amiral Gilles Boidevesi qui lui aussi a remercié les bénévoles de la station pour leurs engagements qui sauvent des vies. En 2023, les Sauveteurs en Mer ont porté assistance à plus de 20 000 personnes en mer. Puis c’est Mgr Jean-Yves Molinas qui a repris l’homélie La Tempête apaisée illustrant pour les chrétiens l’histoire de l’humanité où apparaît dans les derniers temps, le Christ pour la sauver. Il a ensuite béni le nouveau semi-rigide de la station avant que Jean-Luc Exposito confirme le baptême du Rascas plus laïquement avec une bouteille de champagne en lui demandant de ne pas trahir ses équipages.
Une très belle cérémonie bien sympathique !
Pour en savoir plus
- Le site de la SNSM
16 mars 2024 : les épaves, sources de contaminations de la rade
Les épaves des bateaux drossés à la côte ou reposant au fond de l’eau contiennent des combustibles, des équipements électriques, batteries, amiante, peintures et linoléums/plastiques, matériaux dont les composants sont libérés dans le milieu marin, pour certains, immédiatement lors de l’échouage des bateaux, ou le seront progressivement au cours du temps lors de la dégradation de ces épaves.
Les constituants de ces matériaux sont autant de sources de contamination des différentes composantes abiotiques (eaux et sédiments) et vivantes du milieu marin. Dispersés dans les eaux et les sédiments marins de la rade, ils sont incorporés par les différents organismes vivants des chaînes alimentaires marines.
Les épaves sont donc des sources de contaminations chimiques pour les organismes marins, y compris les moules, huîtres et poissons faisant l’objet d’élevages dans la rade. Ces contaminants chimiques viennent s’accumuler à ceux déjà présents dans les différentes composantes des écosystèmes marins (bioaccumulation) de la petite rade les mettant à risque ainsi que les activités économiques.
La plupart de ces contaminants ne font l’objet d’aucune surveillance réglementaire du milieu marin. C’est le cas des PFAS dénomination qui vient de l’anglais « Per and polyfluoroalkyl substances » (substances alkylées per ou polyfluorées) couvrant des milliers de composés différents. Les PFAS sont des molécules chimiques synthétisées artificiellement. Certaines formes de PFAS sont appelées des « précurseurs », puisqu’elles peuvent se dégrader dans l’environnement et se transformer en d’autres PFAS, dont le PFOA ou le PFOS, deux molécules interdites. Leur persistance et leur capacité à s’accumuler dans les tissus des organismes vivants font qu’on les retrouve en haut des chaînes alimentaires. Ainsi elles sont détectées notamment jusque chez les mammifères marins de l’Arctique.
Aussi, conformément au décret du Décret n° 2015-458 du 23 avril 2015, pour l’APE il est important que les épaves, en particulier celles immergées depuis des années dans la rade, soient relevées rapidement pour être éventuellement déconstruites par une filière ad hoc par exemple en liaison avec l’Association pour la plaisance éco-responsable (APER) qui gère une filière de déconstruction éco-responsable comme cela est préconisé par le Secrétariat d’Etat chargé de la mer.
13 mars 2024 : Biodiversité marine, l'urgence absolue – Dites le autour de vous !
Hier soir, lors des échanges sur le thème de l’urgence à préserver la biodiversité pour sauver les liens entre toutes les composantes du vivant, y compris nous les femmes et hommes de cette planète, Camille Étienne, Roland Jourdain et François Sarano ont partagé leurs expériences avec une salle pleine au théâtre Liberté.
Ils ont multiplié les exemples pour montrer que l’érosion de la biodiversité n’était pas une fatalité et qu’il était possible de réagir à tous les niveaux, individuel, associatif, etc… pour faire bouger les lignes favorablement pour le vivant.
Ainsi, les réserves naturelles intégrales en Méditerranée sont de beaux exemples de succès qu’il faut multiplier, de même que les actions de mobilisation auprès des dirigeants et des gouvernements comme celles pour préserver les fonds abyssaux des activités minières, etc…
Leur message commun, mobilisons-nous collectivement pour faire face aux crises écologiques de toutes sortes…
A voir l’exposition de photographies sur « Les travailleurs de la mer » d’Aglaé Bory en déambulant dans la rue des Arts à Toulon sous le ciel bleu et le soleil revenu.
Passion bleue édition 2024, continu jusqu’au 29 mars. Le programme ICI.
Pour en savoir plus
11 mars 2024 : Inventaire cartographique des épaves à la côte – Edition 2024, 3 épaves en moins !
L'inventaire cartographique des épaves récentes de la rade de Toulon vient d'être mis à jour et publié.
Vous pouvez le télécharger en cliquant sur Sources de pollution de la rade de Toulon Inventaire cartographique des épaves récentes Actualisation au 27 février 2024.
Au 27 février 2024 ce sont 45 épaves, 20 de voiliers et 25 de canots, qui ont été inventoriées, un total en augmentation de 3 épaves par rapport à l’inventaire réalisé en 2023. Ce nouveau décompte résulte d’une meilleure couverture géographique du littoral à la suite de nouveaux signalements d’épaves, en particulier sur le littoral du domaine militaire de la commune de Saint-Mandrier.
Aujourd’hui 11 mars2024, ce sont 3 des voiliers échoués sur les rochers protégeant la Corniche Georges Pompidou qui ont été enlevés par la municipalité de la Seyne-sur-Mer, en particulier celui qui avait été drossé à la côte devant Michel Pacha (Photographies du 11 mars 2024). Ils étaient échoués depuis des mois et commençaient à se délabrer sérieusement. Allez encore un effort, il en reste donc 42 pour que le littoral de la rade offre un spectacle digne de l’engouement des amoureux de la rade.
A la date de publication du rapport, aucune épave de voilier à la coque complètement immergée observée en 2023 (voir ce post) n’avait été enlevée bien qu’étant un risque à la navigation. De même, à de nombreux endroits dans la rade subsistent des déchets immergés de différents types. Les épaves de ces bateaux sont autant de sources de pollution des différentes composantes abiotiques et biotiques du milieu marin, contaminations qui préoccupent les associations.
Comme en 2023, afin de faciliter la tache de leur enlèvement, cette nouvelle version de l’inventaire a été transmise aux autorités (préfet du Var et préfet maritime) en tant que contribution au projet Sentinelles de la nature (https://sentinellesdelanature.fr/) mis en place par France Nature Environnement. Le projet Sentinelles a pour objectif de permettre à la communauté citoyenne de géolocaliser les atteintes à l'environnement afin de les signaler à l’autorité afin que soit apporter des solutions de remédiation, avec l’appui des associations et des fédérations de protection de l'environnement.
10 mars 2024 : La JVP Cup se frottent aux vagues de Monica !
A 11h00 ce matin, départ en vue du fort Saint Louis de la première JPV Cup organisé par le Yacht Club de Toulon. Les participants de cette nouvelle course de voiliers ont vogué vers le large sur une mer relativement calme dans la grande rade. Passé le Cap Cépet, vue du littoral, en revanche c’étaient les montagnes russes, ça moussait sérieux !
Voir d'autres magnifiques photos sur le site des gardiens de la rade.
6 mars 2024 : Attention aux chenilles processionnaires !
Dans un post précédent début janvier nous indiquions le grand nombre de nids de processionnaires du pin, en particulier dans les branches des arbres de la zone de la Renardière. En ce moment, toutes les chenilles d'un même cocon quittent leur nid et se retrouvent au sol.
Elles déambulent toujours en procession (ici 60 individus en procession à la Renardière), se regroupant parfois en masse (ici à Marc baron) avant de s'enfouir dans le sol pour se transformer en chrysalides et se métamorphoser en papillons adultes qui s'envoleront pour se reproduire.
Attention, ces chenilles disposent d’un appareil urticant sur le dos qu’elles utilisent pour se défendre en projetant un très grand nombre de minuscules dards (micropoils) empoisonnés. Ces « micropoils » pénètrent dans la peau où ils se cassent en libérant une protéine urticante, la thaumétopoéine. Celle-ci peut provoquer des réactions allergiques sur la peau des mains et du visage, voire des troubles oculaires ou respiratoires.
Si vous vous promenez avec un chien soyez également prudent pour votre animal de compagnie. C’est leur langue qui est généralement atteinte lorsqu’ils prennent des chenilles dans leur gueule ou lorsqu’ils lèchent des zones qui les démangent à la suite de réactions allergiques. Ils doivent être également soignés rapidement pour éviter une nécrose de la langue.
Et pour l’avenir. A la descente vers le sol des pièges disposés sur le tronc des arbres auraient permis de piéger ces chenilles avant qu’elles ne déambulent sur le sol. C’est maintenant trop tard pour l’installation de ces pièges, cependant afin d’éviter leur prolifération l’année prochaine, comme nous l’avions indiqué dans un post précédent, la lutte biologique est possible par « confusion sexuelle ».
Il s’agit de saturer l’atmosphère de phéromones sexuelles femelles spécifique de cette espèce afin d’éviter l’accouplement des papillons et donc de réduire drastiquement leur population. Pour ce faire, à l’aide d’un lanceur à air comprimé des billes de phéromones sont dispersées dans les zones à traiter entre mai et juillet. Cette solution qui évite l’utilisation d’insecticide, est simple et rapide d’utilisation.
Rappel
Pour en savoir plus
3 mars 2024 : Dépression, vagues, échouages et Mega Regina
Velelles
Les vents associés à la forte dépression de ce week-end ont généré des vagues impressionnantes qui sont venues éroder le haut des plages de la presqu’île. Elles y ont également amené de nombreux débris et une « marée » violette de Velelles (nom scientifique Velella velella). Elles vivent à la surface de la mer faisant partie du neuston.
Chaque Vélelle est une colonie d'hydroïdes qui mesurent moins de 7 cm de long. Les vélelles qui sont appelées également Voile violette et Petite voile car elles possèdent effectivement une petite voile rigide qui dépasse de la surface de la mer et intercepte le vent qui les propulse et les pousse à s’échouer par milliers sur les plages lorsqu’il souffle à la cote.
Les Velelles se nourrissent de plancton qu’elles capturent avec leurs filaments urticants présents sur leurs tentacules qui pendent dans l'eau sous leur flotteur. Elles sont inoffensives pour les humains, soit parce que leurs nématocystes sont incapables de percer notre peau, soit peut-être parce que nous ne réagissons pas aux toxines encapsulées dans leurs nématocystes. Néanmoins, il est sage de ne pas toucher votre visage ou vos yeux si vous avez manipulé des Velelles. A leur mort, seul le flotteur chitineux transparent subsiste un temps.
Cirripèdes - Anatifes
Accrochés à différents débris naturels et à des déchets anthropiques échoués sur les plages, des cirripèdes sont encore vivants. Ces déchets ont certainement circulé en haute mer pendant un temps assez long pour que les larves de ces animaux se fixent et se développent à leur surface.
Les anatifes sont des animaux étonnants classés dans le groupe des crustacés, leur exosquelette s’est transformé sous la forme d’une coquille, le capitulum, composée de 6 plaques blanches et reliées entre elles par un tégument noir. Ils vivent fixés par un pédoncule toute leur vie sur un support qui flotte à la dérive à la surface de la mer. Sur ces photos ils se sont fixés sur un fragment de bois et une caisse en résine. Ils se nourrissent de plancton qu’elles capturent avec leurs cirrhes.
Vagues ...
Les vagues ont atteint le haut des plages de la presqu’ile érodant en particulier les dépôts de terre de la plage de la Coudoulière et une bonne partie du sable déchargé sur les plages de La Vieille et de Sainte-Asile en juin 2023 s’est déposé dans les herbiers se développant à proximité.
Mega Regina
Ah oui au fait, hier c’était encore une journée "port propre" ratée à Toulon ! Le Mega Regina de la Corsica Ferries n’y est pas allé de main morte question pollution atmosphérique. Mais là grand silence sur le constat, sauf de nos amis qui se battent contre les pollutions des ferries à Toulon et ailleurs…
22 février 2024 : Casser le thermomètre ne fera pas baisser la fièvre !
C’est devenu une habitude, lorsqu’un indicateur ne convient plus pour mettre en valeur l’efficacité d’une politique, le plus simple et à effet immédiat c’est de le remplacer pour un plus conforme à la volonté politique.
Le dernier cas, le changement de l’indicateur du Plan Ecophyto de réduction de l’usage des pesticides mis en place en 2009. Un indicateur évaluant l’évolution de l’intensité de l’usage des pesticides avait été créé : le NODU. L’élimination du NODU au profit d’un indicateur européen, appelé HRI1, prenant en compte la masse des pesticides (mal) pondérée par leur dangerosité, est considéré comme un recul par France Nature Environnement et 6 autres organisations de la société civile (Fondation pour la Nature et l’Homme, Générations Futures, Humanité et Biodiversité, Réseau Environnement Santé, Ligue de Protection des Oiseaux et WWF France).
Le calcul du HRI1 avec les données françaises montre qu’il donne une fausse image d’une forte baisse (-32%) de l’utilisation des pesticides alors que dans le même temps le NODU montre au contraire une légèrement augmentation (+3%).
Les organisations ont donc claqué la porte du Comité d’orientation et de suivi du plan Ecophyto 2030 car cet indicateur est totalement trompeur puisqu’il va présenter une image de réduction factice alors même que l’usage des pesticides n’a pas baissé depuis le début du plan Ecophyto et que les pesticides sont retrouvés dans nos aliments y compris les eaux minérales.
Or personne ne peut plus le nier, la santé est impactée par l’usage des pesticides !
La manipulation des données de surveillance de la qualité bactériologique des eaux marines est un autre exemple de recul susceptible d’impacter la santé.
Ainsi l’association Eau & Rivières de Bretagne (ERB) s’était aperçu que l’Agence régionale de santé (ARS) de Bretagne prenait prétexte qu’après des pluies la baignade était interdite à titre préventif pour écarter les résultats les plus élevés de la contamination microbiologique du calcul du classement des eaux de baignade des plages bretonnes.
Ce mode de calcul permettait de faire disparaître une grande partie des pollutions mesurées et donc d’améliorer le classement des plages concernées. L’ERB s’étonnait « Comment le classement peut-il s’améliorer alors que les pollutions ne diminuent visiblement pas ? ». L’association a donc saisi le tribunal au sujet de la méthodologie mise en œuvre par l’ARS de Bretagne et dans une décision rendue le 22 juin 2023, le tribunal administratif de Rennes a donné deux mois à l’ARS pour corriger les données de classement des eaux de baignade de la région pour la période 2016-2020…
Localement à Saint-Mandrier, les résultats des contaminations microbiologiques élevées des plages ne sont pas affichés…
Localement Il apparaît également que la fréquence des prélèvements d’échantillons de la surveillance microbiologique de la zone de production conchylicole de la Baie du Lazaret varie au cours des années. L’absence de prélèvement d’échantillon à certaines périodes conduit à un biais méthodologique important quant à la représentativité de cette surveillance considérée par Ifremer comme mensuelle.
Comme en Bretagne, l’Ifremer en charge de la surveillance microbiologique et du calcul de classement de la zone ne tient pas compte de tous les résultats. L’exclusion quasi-systématique par Ifremer des résultats d’analyse obtenus en période de précipitations témoignant d’une augmentation du niveau de contamination dégrade la représentativité de la surveillance en excluant les situations chroniques de contaminations microbiologiques pour le classement de la zone. De plus, la sélection des résultats d’analyse avec l’exclusion d’un grand nombre des valeurs les plus élevées qui apparaît systématique en 2021 et 2022, introduit un biais méthodologique supplémentaire entachant la représentativité de la surveillance et la détermination du classement de la qualité des eaux de cette zone conchylicole.
Aussi, France Nature Environnement et l’APE ont demandé que l‘ensemble des résultats de surveillance microbiologiques soient utilisés pour le calcul du classement des zones de productions conchylicoles. Ainsi, le classement de la zone de production classée de la Baie du Lazaret sera conforme à l’objectif et aux critères de la réglementation en vigueur pour le classement des zones conchylicoles en fonction de la qualité de leurs eaux.
Pour en savoir plus :
- Déclaration commune des organisations COS ECOPHYTO du 12 février 2024
- Pesticides : Gabriel Attal enterre Ecophyto
- L’ARS Bretagne doit revoir sa copie pour les eaux de baignade
- Polémique sur les eaux de baignade en Bretagne : l’Agence régionale de santé devra revoir sa copie
- Courrier FNE-APE du 18 février 2024, Cultures marines Baie du Lazaret, Surveillance microbiologique et biais méthodologique
- Analyse des résultats de la surveillance microbiologique de la Baie du Lazaret - Rapports Ifremer 2022 et 2023